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tu dis

tu dis (3)

tu dis : « J’ai appris à me méfier de tout, même des promesses du matin. »
tu dis : « Ce ne sont pas les jours sans qui me font peur, ni le silence qui les accompagne, mais ce qu’ils permettent, la possibilité alors de percevoir ces bruissements indistincts, incertains, et me demander : gros de quoi ? »
tu dis : « C’est un étoilement des jours qu’il aurait fallu, et non cet empilement où l’on ne retrouve jamais rien. »
tu dis : « Ou alors, de ces liens qu’on clique, et d’un rêve l’autre, d’une sensation... »
tu dis : « ... et ne jamais refaire le même parcours, chaque fois neuf. »

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