bienvenue dans l’atelier
traverser les clairières sans te retournerlaisser ràªver chaque part de ton corpsécrire les ombres franches de l’embellie du soirne rien tenter d’ajuster (pas màªme ton présent)
déchiqueter (puisque c’est besoin)cheminer sans souci du but (tu es mieux là qu’au fossé)boire l’obstacle (comme d’autres les paroles)ne t’arrimer qu’au provisoire
Brou, rue de Chà¢teaudun
c’est entendre tout au long d’une réunion que les documents aperà§us sur un écran seront envoyés par mèl, et se demander ce qu’on est venu faire, c’est la découverte de l’emploi du temps, et comment chacun se met dans un coin pour l’analyser, à l’abri des regards, guettant parfois si d’aucun par dessus l’épaule, c’est inévitablement entendre un(e) s’exclamer[...]
Amateur de pelote basque, T. a trouvé la mort hier, dans un trinquet de Pau, après qu’une balle soit venue frapper l’une de ses tempes.
Poèmes express produits grâce au code de Joachim Séné, de l’Oulipo à contrainte graphique ! Sur Face de bouc, c’est par ici.
Et un poème express à la main, à la manière de Lucien Suel.
Après avoir obstinément cliqué à l’extrême bord droit, il est apparu :
Orléans, rue de Bourgogne
mà¢cher chaque page écrite (en déglutir l’horizon)n’emporter ni question ni réponsene plus s’entraîner à qui perd gagnene rien attendre de tes silences
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