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vases communicants

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Articles

descendre l’escalier

descendre l ?escalier – pas le moment pour les fissures au sol – pas question de rester là en plein passage – personne mais à l ?idée que quelqu ?un survienne et te trouve comme à§a – seul allongé fixer une lézarde au plafond – plus le temps des heures engourdies – sortir - à§a qu ?il faut - sortir – plus le temps des yeux fixes à ruminer l ?immobile –[...]

vases communicants | Anne-Charlotte Chéron

Vases communicants avec Anne-Charlotte Chéron dont on peut suivre les écritures et travaux photographiques sur son blog, En marge (s). Point de départ partagé pour l’écriture : « il dit ». Décliné par Anne-Charlotte sous la forme d’un chœur de voix multiples ; de mon cà´té travaillé sur la voix du père disparu. Un grand merci à Brigitte[...]

vases communicants | Camille Philibert-Rossignol

Ce mois-ci, échange avec Camille Philibert-Rossignol que l’on peut lire sur son blog la pelle est au tractopelle ce qu’est la camomille à Camille. Un point de départ déroutant pour l’écriture : le surfeur d’argent — mais c’est bien des fois d’àªtre dérouté ! Une nouvelle fois un grand merci à Brigitte Célérier[...]

vases communicants | stéphane bataillon

Silence
Pourquoi le silence
doit-il àªtre blanc ?
Elle dit :
Mais en musique, c’est noir.
Une femme, la cinquantaine
crie dans le métro :
Je suis radioactive.
Les gens passent.
Ce n’est pas de l’espace
et ce n’est pas du temps
Il n’y a pas à confondre
Mais pourquoi le silence
devrait-il àªtre blanc ?
Il[...]

vases communicants / Sabine Huynh

à‰change aujourd’hui avec Sabine Huynh, auteur et traductrice, à partir d’une citation de T.S. Eliot relevée sur son site : Home is where one starts from. On trouvera mon texte par ici. Et la liste de tous les vases communicants de juin par là (un grand merci à Brigitte Célérier).
Home is where one starts from / chez soi, c ?est d ?où l[...]

vases communicants | arnaud maà¯setti

Profondeurs latérales
Masses informes de foules passantes, villes entières qu ?on empile sur des immeubles de plus de quinze étages, ombres chinoises de corps inertes penchés sur des écrans et alignant les chiffres, yeux crevés sur le travail à faire, bouche fermée sur le travail fait, grands couloirs dont je devine d ?ici, cette rue où je passe le[...]

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