bienvenue dans l’atelier
des ruines, un nom pour destin, un portrait, une chaise vide et une chevelure
26 octobre 1957. à‰cris, je t ?en prie, deux lignes seulement, màªme si tu es bouleversé et que tes nerfs ne tiennent plus. Mais chaque jour. En serrant les dents, à la rigueur màªme des imbécillités sans aucun sens, mais écris. à‰crire est une de nos illusions les plus ridicules et pathétiques. Nous croyons faire une chose importante en traà§ant des[...]
Ville au bout de la route et route prolongeant le ville : ne choisis donc pas l’une ou l’autre, mais l’une et l’autre bien alternées.
Montagne encerclant ton regard le rabat et le contient que la plaine ronde libère. Aime à sauter roches et marches ; mais caresse les dalles où le pied pose bien à plat.
Repose-toi du son dans le[...]
journal vidéo du 7 février 18
de l’oralité, de la langue, des marquises, des sabots de chevaux dans la nuit
Scènes de la vie privée
La maison du Chat-qui-pelote | Le bal de Sceaux | La bourse | La vendetta | Madame Firmiani | Une double famille | La paix du ménage | La fausse maîtresse | Étude de femme | Albert Savarus | Mémoires de deux jeunes mariées | Une fille d’Ève | La femme abandonnée | La Grenadière | Le message | Gobseck |[...]
la province et ses automates, des fenàªtres, un vide retentissant, des domestiques noirs, le lac de Genève, un fusil de chasse
variations, mécanique judiciaire, et un planteur de peupliers
Je suppose qu ?il s ?agit de sauver quelques jeunes hommes du suicide et quelques autres de l ?entrée aux flics ou aux pompiers. Je pense à ceux qui se suicident par dégoà »t, parce qu ?ils trouvent que « les autres » ont trop peu de part en eux-màªmes. On peut leur dire : donnez tout au moins la parole à la minorité de vous-màªmes. Soyez poètes. Ils[...]
Bixiou, l’ascension de Nucingen, un croquemort philosophe, la Banque, du Tillet, un portrait de Rastignac