bienvenue dans l’atelier
monologue 2 mis à jour
tu dis : « C’est pas si souvent les bouquins où il reste pas de place pour écrire. » tu dis : « Les piles de bouquins ça m’a toujours fait peur : tellement de jours aussi laissés en attente. » tu dis : « Juste un mauvais rêve : que le texte s’efface au fur et à mesure que tu écris dans la marge. » tu dis : « On rigole bien du lecteur qui reprend chaque fois le même[...]
Sancoins, 23 rue Ferdinand Duruisseau
se rendre dans le magasin d’une coopérative agricole en quête de bois d’allumage pour la cheminée, chercher au petit bonheur, passer par le rayon des aliments pour volailles, sacs de cinquante kilos posés sur palettes, retrouver l’odeur des granulés à lapins, la même que gosse, quand soulever le couvercle métal d’une lessiveuse et plonger une vieille boîte de[...]
dire quoi, quand sà »r de rien ; quand il suffit d’ouvrir un tiroir, en tirer quelques enveloppes et voir le monde se dérober sous vos yeux, tout rongé de sa découverte, bouffé du dedans par une dizaine de mots pas plus ; peut-àªtre màªme moins suffisent parfois ; alors, les élucubrations, les numéros d’équilibriste avec les mots ou les[...]
Orléans, rue du faubourg Bannier
Châteauroux, 18 Rue Diderot
Poèmes express produits grâce au code de Joachim Séné, de l’Oulipo à contrainte graphique ! Sur Face de bouc, c’est par ici.
Et un poème express à la main, à la manière de Lucien Suel.
Après avoir obstinément cliqué à l’extrême bord droit, il est apparu :
comme si c’était simple de regarder le monde en face ; sans tricher se planter dans un coin et se mettre à faire l’inventaire ; et n’y rien changer ; dire ce que l’on voit, le plus honnàªtement possible ; pas question de savoir faire ou non, mais la force que à§a demande ; quand soi, la faà§on dont on la regarde en face la vie qu’on mène ; la faà§on qu՚on a de la[...]
Orléans, rue de Bourgogne
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