Enfin je me résolus à escalader cette tour, et tant pis pour la chute ; tant il était préférable de voir le ciel et périr, que de vivre dans ces jours sans vue.
Lovecraft, L’à‰tranger
Michel Brosseau | à chat perché
bienvenue dans l’atelier
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Enfin je me résolus à escalader cette tour, et tant pis pour la chute ; tant il était préférable de voir le ciel et périr, que de vivre dans ces jours sans vue.
Lovecraft, L’à‰tranger
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