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entre deux | notes

et de n’en plus bouger

(…) j ?ai été élevé dans le respect de ce qui existe, de ce qui est : respecter une chose, non parce qu ?elle est respectable, mais parce qu ?elle est.
C ?est au nom de ce principe, en somme, que parlaient, eux aussi, ces messieurs du tribunal.
Or ma maison était, ma famille était et, pour sauvegarder l ?une et l ?autre, je me suis astreint pendant des années à vivre comme un automate plutà´t que comme un homme, au point d ?avoir parfois une envie presque irrésistible de m ?asseoir sur le premier banc venu et de n ?en plus bouger.
C. Simenon, Lettre à mon juge

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