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monologue 4 mis à jour
monologue 5 mis à jour
deux fauves
au matin choisir tes instruments d’optiquene rien espérer du kaléidoscope (pas màªme l’ivresse)ne rien craindre des fragments du miroir (mais des bris que tu portes ?)ne plus confondre lunette et bà¢ton de pluie
images qui resurgissent, c’est parfois au détour d’une lecture, parfois au travail, en train de faire émerger le sens d’un texte, ce qui le sous-tend, le porte, avoir besoin de trouver un exemple, et c’est en soi qu’on puise, mémoire des textes ou de ses propres jours on ne sait pas toujours, c’est dans le flux de la parole, dans la présence au groupe, à[...]
tu dis : « On parlait de tonalité à l’école, pour les textes, jamais du mode. »
tu dis : « Sur une guitare, avec cinq notes, tu peux aller loin. »
tu dis : « Je sais même pas combien de mots me sont nécessaires. »
tu dis : « Les accords, c’était les yeux fermés que je les apprenais, pas moyen autrement. J’ai pas su pour écrire... »
tu dis : « Une grille d’accords :[...]
Saint-Jean-de-Braye, 18 Rue de la Planche de Pierre
Vierzon, Promenade Victor Schoelcher
tu dis : « Souvent je ferme les yeux, et puis j’attends : mais rien à faire, jamais d՚images, rien que des mots. » tu dis : « Celui ou celle qui voudrait parler de ta vie, et c’est son gouffre que tu entends. » tu dis : « Qu’ils les gardent leurs réponses : je n’ai rien demandé à personne, juste exigé de moi-màªme. » tu dis : « Il faudrait deviner, à une intonation,[...]
Compter les hommes en noir. Parce que l’impression que plus nombreux. Ou est-ce d’avoir si longtemps été éloigné de la ville ? Leur présence autour de la gare et dans le centre. Marchant en groupe ou seul. Avec ou sans valise. Rare qu’ils n’aient pas au moins un sac en bandoulière. Leur pas pressé. Ou réunis au bas d’un immeuble, le temps d’un café, d’une[...]
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