L’homme au chien siffle, appelle de peu de syllabes, marche en enjambées décidées — c’est tout droit qu’il va, là où son chien déjà — le rattraper lui passer au collier la laisse qui pend dans sa main, balance au gré du bras qui accompagne le pas. L’homme au chien se projette — c’est un àªtre d’horizon où d’évidence le corps tiède de sa bàªte haletant se soumet — et l’inquiétude de la fugue, de l’appel sans pouvoir — l’homme au chien marche et doute, la perte et l’abandon en guise de possible — angoisse de la promenade devenue recherche panique...
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