Dehors me manque. Y marcher. Imaginer l’au-delà de ces cloisons capitonnées est sans doute plus facile que comprendre ce qui se joue ici. Et alors ?
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Articles les plus récents
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journal d’un (24)
16 avril 2016, par M.B. -
dans un village presque désert
11 avril 2016, par M.B.Habiter, pour une semaine, un village presque désert, l’avoir constaté déjà en consultant Google street, ne demeurent plus qu’un bar, une boulangerie et un garage, la propriétaire du gîte, à ton arrivée nous parle du passé, de l’activité d’autrefois, des seules cloches de l’église qui aujourd’hui témoignent d’un peu de vie, de la pièce où on se trouve, demande si on ne remarque rien sur les poutres, ces marques dans le bois, chacun, sans trouver, d’y aller de son explication, qui arrive enfin : c’était un café, (...)
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poèmes express #2
8 avril 2016, par M.B.Poèmes express produits grâce au code de Joachim Séné, de l’Oulipo à contrainte graphique ! Sur Face de bouc, c’est par ici. Avec cette fois utilisation de ma propre liste de mots, tout du moins pour partie.
Et de nouveau un poème express à la main, à la manière de Lucien Suel.
Peut-être l’amorce d’une série. -
poèmes express #1
6 avril 2016, par M.B.Poèmes express produits grâce au code de Joachim Séné, de l’Oulipo à contrainte graphique ! Sur Face de bouc, c’est par ici.
Et un poème express à la main, à la manière de Lucien Suel. -
#instantanés
4 avril 2016, par M.B.les #instantanés seront comme des prises de vue, photos ou vidéos volées, des instants creusets où travailler le multiple des perceptions, où travailler la linéarité de l’écrit, un moyen de maintenir l’écriture dans le temps du quotidien, des fragments
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constater, en rangeant mes paquets de graines
28 mars 2016, par M.B.constater, en rangeant mes paquets de graines, qu’un bon nombre ont dépassé leur date de péremption, avoir du mal à les jeter, parce que le sentiment de tenir entre ses mains de la vie qui ne demande qu’à , s’en vouloir d’une réaction aussi idiote, puisque savoir depuis longtemps que les graines périmées ne poussent pas, l’avoir appris dès l’enfance, quand ces paquets confiés par mon père, oubliés au fond du tiroir de cette longue table de chêne abandonnée au sous-sol, un de ces meubles venus s’entasser au (...)
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journal d’un (23)
28 mars 2016, par M.B.Un si long temps passé à infuser. Et pourtant je sortirai d’ici pétri de silence.
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journal d’un (22)
21 mars 2016, par M.B.Du lit-cage à ici. Entre, il y aura eu quoi ?
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journal d’un (21)
15 mars 2016, par M.B.Ces vêtements dans lesquels je flotte. Ils ont cru bien faire. Ils n՚auraient pas supporté me laisser nu. Masque dérisoire de mon corps en travail.
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journal d’un (20)
12 mars 2016, par M.B.Quand ça s’arrêtera ? Si jamais ça s’arrête. L’armature encore si peu visible. Quelques trouées. Et même alors.
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