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notes de lecture
à€ droite, plus blanches que jamais, les vitres givrées des deux fenàªtres. Dehors, du blanc figé partout, du blanc scintillant comme la lune, avec seulement les traits noirs des peupliers et quelque part, sous la glace, la tache rouge d’un béret d’enfant. Simenon, La maison du (...) (Lire la suite )
Je sais tout ce qui fut, tout ce qui sera, Je connais ce mystère sourd-muet Que dans la langue menteuse et noire Des humains — on appelle la vie. Marina Tsvétaà¯éva, Le ciel brà »le (Lire la suite )
Dans ces calmes déserts il promène les siens jusqu’à ce que les premiers ces derniers se ferment et que la tàªte là¢chée retourne à sa vieille place. Beckett, Le Dépeupleur (Lire la suite )
Je te regarde vivre dans une fàªte que ma crainte de venir à fin laisse obscure. René Char, "L’avenir non prédit", Commune présence (Lire la suite )
Enfin je me résolus à escalader cette tour, et tant pis pour la chute ; tant il était préférable de voir le ciel et périr, que de vivre dans ces jours sans vue. Lovecraft, L’à‰tranger (Lire la suite )
Alors, patiemment, froidement, sans déranger la nuit qui l’entourait, le jeune homme prit son revolver et visa. Gaston Leroux, Le Fantà´me de l’Opéra (Lire la suite )
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